Adultes âgés de 18 à 55 ans ayant régulièrement consommé de la méthamphétamine (meth, cristel, meth, tina) et qui désirent réduire ou arrêter de consommer
DÉTAILS
L’unité de recherche en psychiatrie des toxicomanies (URPT), dirigée par le Dr Didier Jutras-Aswad, chef du département de psychiatrie du CHUM et chercheur clinicien, mène une programmation de recherche clinique dynamique centrée autour des substances psychoactives, de la santé mentale et de la toxicomanie. Cette unité est composée d’une équipe multidisciplinaire, formée selon les plus hauts standards en recherche clinique. L’équipe comprend un chercheur, une gestionnaire de projets, des coordinateurs de recherche, des assistants de recherche, des rédacteurs scientifiques et des étudiants diplômés.
Présentation du projet ASCME* La consommation de méthamphétamine connait une augmentation considérable à l’échelle mondiale au cours des dernières années (1). Le Canada est confronté à cette croissance problématique à l’instar du monde entier (2).
Pour ma part, j’ai participé à cette expérience parce que j’étais complètement désespérée et que je n’arrivais pas à arrêter de consommer.
Ce que j’ai aimé particulièrement c’est que depuis longtemps je ne m’étais pas sentie utile. En tant que toxicomane en consommation, j’étais plutôt déprimée. Et cette étude m’a permis de me surpasser, d’arrêter de consommer, de voir des progrès avec les rencontres chaque semaine. Cette étude m’a surtout permis d’avoir de l’espoir à nouveau de m’en sortir.
a participé à : ÉTUDE CBD
Centre de recherche du CHUM (CRCHUM)
900 rue St-Denis, 4e & 5e étages,
Montréal (QC) H2X0A9
Téléphone : 514 890-8000 #30933
Courriel : labo.jutras.aswad@gmail.com*
Pour joindre l’équipe des relations médias: andree-anne.toussaint.chum@ssss.gouv.qc.ca
Mythes et réalités d'une étude clinique :
*Les personnes désirant participer à une des études ou qui ont des questions sur celles-ci peuvent contacter le laboratoire. Les personnes qui désirent obtenir des soins ou des services en toxicomanie et/ou en santé mentale peuvent s’adresser au centre de réadaptation en dépendance ou au centre d’accueil psychosociale de leur région. Ils peuvent également solliciter les services d’urgence si leur état le requiert.